En 2012, les bijouteries sont sous le feux des projecteurs du rachat d’or et d’une réaction face à la crise financière, dont certain ont perçu comme une opportunité en se servant du rachat d’or et du cours du diamant pour relancer vers le haut un secteur de l’économie qui pour le moment n’a pas été touché de plein pied par la crise.
L’or a été pendant des siècles la monnaie de référence pendant plusieurs siècles,. Aujourd’hui, cette fonction du métal précieux est dépassé et les marchés financiers ce servent de cette matière première comme d’une autre en ne lui accordant pas plus d’importance que le pétrole ou des minéraux très rares, et donc très couteux, entrant dans la fabrication composants de micro processeurs ou de chips de hautes technologie. L’or revient sur le devant de l’actualité en ce sens qu’à Paris par exemple, le pourcentage de bijouterie te de centre de profit qui se sont mis à l’achat or monte en flèche et fait du métal précieux et des acteurs fétiches pour sortir de la crises. Les bijouteries ‘ont bien compris en se rendant compte qu’elles pouvaient augmenter leur chiffre d’affaire de façon conséquente en vendant et en achetant de l’or, pour ensuite le revendre avec un marge exceptionnelle, sur le marché des bijoux.
Il existe des bijouteries près de Paris qui ont donné la note en relevant le défi de proposer à la vente des bijoux d’occasion, et au de racheter à leur clientèle leur bijoux anciens, au poids de l’or sur les marché financier.
La longévité de l’aura du métal précieux ne peuvent s’expliquer seulement pas ses caractéristiques physiques. C’est au départ une monnaie particulière qui met en marche à elle seule les ressort complexes d’une économie de marché. Le fait que les prix de l’or monte sans cesse depuis le début de la crise n’empêche pas ce phénomène, qui suit le mouvement, dopé par le besoin d’argent liquide d’une couche de la population touchée de plein fouet par la crise, et à la campagne de marketing ciblée de bijouteries indépendantes et de groupes de bijoutiers associés dans le rachat or. Si l’or revient aujourd’hui sur le devant de la scène, ce n’est pas grâce a une promotion orchestrée par les banques, ou les états, mais bien, par des intérêts financiers mis en avant par la crises, dont les bijouteries et les propriétaires de bijoux d’occasion sont bien les principaux acteurs.
La place Vendôme à Paris a préféré la joaillerie à la bijouterie. Les deux principaux acteurs du monde du bijou ne se font pas de concurrence , mais au contraire, tirent chacun leur épingle du jeu en ciblant deux clientèles différentes.
La joaillerie est lié au luxe et au prestige des marques, la bijouterie a pris un créneau de prestige inférieur, mais qui cible une clientèle beaucoup plus importante avec des gouts et des désirs variés et en constante évolution, qui vont lui permettre et passer la crise sans trop de dommage. L’or est connu pour son association au bijoux depuis l’époque de l’Égypte ancienne, mais l’or en tan que monnaie date aussi de la splendeur de la Mésopotamie. La marche du temps confirmera ensuite cette fonction primordiale, au travers les aléas de l’histoire, qu’elle que soit la latitude ou les gouvernement en place. En temps de guerre comme en temps de paix, elle a été universellement reconnue comme la monnaie de référence et l’étalon or servi pendant des siècles a fixer les bases de l’économie mondiale. Les bijouteries seraient devenue aujourd’hui un des fers de lance de la reprise de la place du métal magique, au rang de qui lui est dû.
