Le terme « aigrette « est véritablement entré dans la langue française au IVX siècle, en dehors du contexte véritable de la joaillerie.
Il s’agit à l’époque d’une plume qu’on planté dans la chevelure, comme marque de supériorité plutôt que comme bijou. Avant cela, bien des ornements de tète datant des Égyptiens ont été piqué aux Ier e IIème millénaire. A cette époque, des nombreux empereurs Mongols ornaient leur turbans de pièces diverses, servant à alimenter l’apparence de leur pouvoir. En occident l’aigrette se compose de deux parties; une première fixe, réalisée en joaillerie, et une deuxième, composée de tiges ornées de pierres précieuses, perles e plumes. Elle est considérée, suivant son époque, à un ensemble constitué du costume, d’une parure, d’un ensemble, qui donne à la personne qui le porte, une aura de pouvoir, de puissance et de richesse. La signification de l’aigrette est liée à la dignité que lui confère ce statut de pouvoir et de richesse, et un droit aux honneurs.